Au moment de sa mort, en 1871, trois ans après l’acte de l’Amérique du Nord britannique qui crée la Confédération canadienne et lui octroye sa constitution, Tu-Eka-Kas, le père du chef Joseph, rappelle à son fils : « Souviens-toi toujours que ton père n’a jamais vendu son pays. Tu dois fermer tes oreilles quand on te demandera de signer un traité vendant ta demeure. Quelques années encore, et les hommes blancs seront tout autour de toi. Ils ont les yeux sur cette terre. Mon fils, n’oublie jamais mes dernières paroles. Ce pays contient le corps de ton père. Ne vends jamais les os de ton père et de ta mère.
de retour sur la plantation la camionnette se range devant la véranda où le contremaître distribue à chacun son lot de ficelles qui vont servir à lier sa récolte et à comptabiliser son travail. Tant de ficelles, tans de pesos.
Messieurs, vivons en paix avait-il déclaré à la Chambre dans son discours d’investiture. Encourageons la clémence et la culture. Fusiller des dissidents ? Noyer des intellectuels ? Désintégrer des contestataires ? Tsst ! Tsst ! Du plus mauvais effet à l’étranger.
Que rien ne perturbe la tranquillité de Lima, que les troubles ne provoquent pas de décisions qui pourraient signifier une mortification dans la vie quotidienne, qu'aucun habitant de Lima n'ait à souffrir des accidents civiques d'une nation.
Habituellement on emploie quatre critères pour édifier une séparation entre indien et non-indien.
— le critère racial
— le critère culturel
— le critère du degré d'urbanisation
— le critère linguistique.