Sakuragi Yaya

Merci à Babelio et aux éditions Taïfu, pour ce manga.

Je suis au regret de vous annoncer que tout est dit dans le résumé. Il n’y a plus de surprises. Shûji n’exprime pas les sentiments qu’il ressent et Saji semble être fait de marbre. Pas de sourire ne vient perturber les traits de son visage. Il est vrai que tout les opposes. L’histoire est donc courue d’avance. Si vous êtes attentif, vous serez étonné par l’absence de transition entre les scènes. Parfois, il est difficile de comprendre où on veut emmener le lecteur. Ici, il n’y a que la rencontre avec le début d’une romance. Un semblant de problème se profile pour le prochain tome. L’ensemble de ce manga a encore besoin d’être travaillé.


Lien : http://les-lectures-d-eden.b..

J'avais adoré Yume Musubi Koi Musubi c'est tout naturellement que j'ai voulu lire ce manga aussi. Je n'ai pris que le premier pour tester mais je vais vite me procurer la suite.



J'aime Tanihara très joueur qui est ouvert à toute nouvelle expérience. J'aime le sombre docteur pas méchant du tout et qui va droit au but.



Le premier tome se lit très vite et je regrette maintenant de ne pas avoir le Tome 2. J'attendrai que le 3 sorte pour prendre les deux d'un coup.

Le numéro du premier anniversaire. Plusieurs séries connues, quatre nouveaux titres mais surtout une nouvelle inédite de Youka Nitta en fin du volume.

Dou:3le (You) ^^, vu que c'est comme ça qu'elle se nomme, raconte l'histoire d'un programmeur qui tombe amoureux d'un joueur de sa guilde qui a choisi comme pseudo le nom du jeu qu'il a créé.

L'histoire est très rapide mais comme il s'agit d'une nouvelle c'est plutôt normal. Les dessins sont assez différent de ce qu'on voit en général dans les yaoi et malgré le nombre de pages très réduit on vibre facilement avec les personnages (surtout à la première lecture en fait).

Elle m'a vraiment plus et du coup je trouve ça plus regrettable que cette auteure ne soit pas (encore) publiée en France.

Un manga très banal, avec une histoire on ne peux plus passe partout et surtout pas très crédible. Une lecture passe temps, rien de plus.

Manga de pré-publication assez sympa dans l'ensemble, très bien pour découvrir quelques mangas intéressants !!



Mes histoires préférés sont : -Do You Know My Detective

- Viewfinder

J'avais déjà aimé l'histoire initiale et le personnage de Tanihara, dont j'aime beaucoup l'humour et le côté nonchalant. J'ai encore plus aimé ce spin off !



Pour une fois nous n'avons pas un couple avec 1 ou 2 jeune(s) plus ou moins innocent. Ici ce sont 2 hommes mûrs expérimentés qui se séduisent.

Si Tanihara est hétéro jusqu'ici, c'est un joueur très ouvert d'esprit et il plonge à pieds joints dans cette expérience.



Le personnage du pédiatre paraît froid au premier abord, mais cache évidemment autre chose.



On voit donc les héros se découvrir et évoluer vers une relation plus mature.

Je suis assez déçu de ce magazine!

La prépublication est un concept génial pour découvrir de nouvelles histoires ou de nouveaux auteurs mais je suis frustré de devoir attendre chaque numéro pour au final ne lire qu'un ou deux chapitres (comme il y en a pour tout les goûts, il y a rarement plus de deux ou trois histoires qui me plaisent par numéros).

Du coup ce quatrième numéro sera, pour moi, le dernier.

J'ai adoré Vanilla Star (les dessins sont magnifiques) et la suite de Viewfinder.

A mon avis, c'est les 2 histoires qui sortent du lot.

Ce n'est clairement pas le pire yaoi que j'ai lu... Ce n'est pas le mieux non plus.

Ce n'est pas détestable, mais parfaitement oubliable...

Vous avez compris l'idée.

Tout d'abord, les bons points : les dessins sont très agréables, et le personnage d' I-chan est plutôt charismatique.

Ensuite, les moins : l'histoire est loin d'être originale, et le côté jeune fille en fleur de Yuzu me gonfle pas mal. Et même si l'auteur essaie de mettre en avant le fait qu'il soit malgré tout un homme qui sait se débrouiller, cela ne se ressent pas du tout. Par pitié, stop avec ce genre de perso !



L'histoire bonus est sympathique, même si l'on a un peu de mal à comprendre Takatsuki. Au moins, les héros ont le mérite d'être décrits comme des hommes.



Bref, tout cela ne révolutionne pas le genre, mais ça se laisse lire.



Sansplus/20.

Un manga super sympa avec des personnages attachants que j’ai hâte de découvrir davantage dans les tomes suivants. Les dessins sont jolis et l’histoire attrayante. Tanihara et Saji sont très différents et c’est ça qui rend le tout intéressant, de les voir apprendre à se connaître, à s’apprivoiser, le tout avec une gamine au milieu. J'aime beaucoup Saji qui dit ce qu’il pense, semble maladroit avec les adultes, à un visage austère qui effraie mais qui malgré tout ça semble cacher de la gentillesse et de la douceur. Je vais lire la suite de ce pas.

Shûji Tanihara est un homme blasé, travaillant dans un bazar ayant peu de clients et vivant avec la fille de son ex-femme. Tout l'ennuie jusqu'à ce qu'il rencontre Saji le nouveau médecin de la clinique, ouvertement gay.



Une histoire intéressante mais avec quelques défauts : parfois l'incohérence d'une page à l'autre (un découpage des scènes qui manquent de clarté), un dessin qui aurait pu être mieux car certaines scènes dévoilent des corps peu avantageux, peu réalistes et/ou trop raides.

Cela reste un manga agréable à lire avec certains passages bien dessinés !

Merci à babelio et Taifu comics pour cette découverte !

Ce manga constitue un spin-off à "Yume Musubi Koi Musubi", se concentrant sur le personnage de Shûji (et sa fille). C'est toujours agréable de suivre en parallèle d'un récit principal l'histoire de personnages secondaires auxquels on s'est attaché.



C'est donc avec beaucoup de plaisir que je me suis plongée dans cette nouvelle série !



Le récit est agréable, fluide, servi par la plume particulière mais maîtrisée de la mangaka.

La personnalité de Shûji est telle qu'on l'avait découverte dans la série précédente, et celle de Saji, le médecin, est aussi déconcertante qu'amusante. Ce genre de personnage, qui paraît froid mais qui se révèle souvent passionné, me plaît toujours pas mal.



Ce début d'histoire est très prometteur, et j'ai hâte de découvrir la suite de ce début de relation qui s'instaure entre les deux protagonistes !

C'est la couverture même qui m'a fait craqué !

Je vis parfois un peu au pays des Bisounours et à vrai dire, ce OS en sort tout droit !



Ce yaoi est loin d'être un manga prise de tête, il est mignon, choupi, on nous balance pas des scènes de sexe toutes les trois pages et demi.



Le personnage principal est un grand nigaud tout ce qu'il y a d’attendrissant, il est mignon malgré sa grande taille, il a de grands yeux d'enfants, on a à l'inverse son I-chan, au look plus mature, plus sérieux. On a ici un espèce d'inversement physique et comportemental par rapport au Seme* ("dominant") et uke ("dominé"). Le couple en est un de nature, c'est à dire qu'il n'y a pas à réfléchir dessus, ils ont eux deux ensemble et c'est tout, pas de discussion.



Comme dit précédemment, ce OS n'est pas là pour nous introduire une histoire torturée, compliquée avec pleins de problèmes à résoudre, non. On a l'équivalent de 4 petites histoires, sans vraiment de liens entre elles, et c'est juste une comédie douce et légère.



Si on veut cependant se prendre la tête, on peut trouver dans ce manga de lourds préjugés quand même, le côté un homme doit protéger la femme (et jamais l'inverse, sinon attention à son égo !)

le côté prince et princesse, car si même il m'a fait sourire, on nourrit encore l'idée d'une féminisation du rôle et donc que les filles sont en recherchent constant de leur prince charmant. Mais je ne m'étalerais pas là dessus car j'aime quand même ce petit côté guimauve même si je n'adhère pas totalement.



Niveau dessins j'aime bien le style, mais on notera quelques défaut quand même, mais dans son ensemble est plutôt agréable, peut-être un peu trop haché ou carré par moment.



Mais bon, j'aime ce manga !! ^^



Le petit plus :

OS pas prise de tête, mignon et se relit assez facilement./Niais à souhait, mais faut aimer le style.



Petit moins :

Manque de profondeur sur certaine chose/ le côté "petite femme à la cuisine" j'exagère à peine./ Ne possède pas de réelle histoire, juste du tranche de vie du couple.
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Une idylle entre un professeur et son élève, voilà une relation des plus sexy, qui flirte avec le danger. Malheureusement, Yaya Sakuragi a choisi de ne pas exploiter cet aspect et nous sert ici une banale histoire de couple qui découvre les joies et les plaisirs de l’homosexualité. Le fait que Homura soit le frère de l’ex de Isa a très peu d’importance finalement et n’ajoute pas plus de piquant à cette relation.



Le seul point positif de cette histoire est le traitement de la relation dominant/dominé. Bien que Isa soit le uke, il garde totalement le contrôle sur Homura dans la vie courante, ce qui est tout à fait logique puisqu’il est son professeur. On est loin du cliché de l’étudiant rebelle qui martyrise et humilie son sempai pour le plaisir, comme c’est le cas dans la plupart des yaoi de ce genre.



La relation entre Isa et Homura est tendre, faire d’hésitation et de conciliation. Hey Sensei ! est une petite histoire d’amour gentillette qui tient plus du shonen-aï que du yaoi.
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C'est un manga pas transcendant qui est plein de bons sentiments mais qui est très maladroit dans ses thèmes et très souvent cliché. le grand gaillard qui veut être la princesse de la personne qu'il aime, c'est marrant au début mais franchement pénible à la longue et involontairement (j'espère) sexiste dans certaines paroles dites devant un personnage féminin.



J'ai compris ce que voulait écrire la mangaka avec ses personnages et cela reste mignon et décalé dans l'ensemble mais très mal amené parfois. Clairement pas le meilleur de la mangaka.

Ce n'est pas un mauvais manga, mais pas un coup de coeur non plus. L'histoire est assez banal, ça ne va pas trop dans l'approfondissement de la romance et les passages spicy sont parfois plutôt discutable. Malgré tout j'ai trouvé ça mignon, quoi que pas assez mature à mon goût

J’ai apprécié la romance qui gagne en maturité avec le couple qui avance intelligemment, avec encore un Shûji qui a du mal avec certains moments de tendresse et le rend drôle et adorable.



L’intrigue se concentre davantage, cette fois, sur la petite fille. Si j’ai beaucoup aimé cet aspect-là, on y voit un Shûji en papa assez maladroit (comme d’habitude) qui fait ce qu’il peut pour le bien être de Chi, j’ai trouvé qu’il manquait sérieusement de développement sur leur lien de parenté.

C’est peut-être moi ou un rapport avec la culture japonaise dont j’ignore sûrement, mais du début jusqu’à la fin, il n’est pas dit clairement que c’est sa fille biologique. C’est bien écrit qu’elle est juste la fille de son ex-femme, pour cela que ça a été flou constant pour moi et j’espérai tellement que ce soit expliqué.



Cette série ne m’inspirait pas au début, ne pensant pas accrocher mais je dois avouer qu’en finissant ce tome, je me suis fait la réflexion qu’elle aurait tellement mérité un 4ème tome, notamment pour développer le mystère sur la fille. Hormis ça, les thèmes sont joliment bien traités sans en faire trop et des personnages assez atypiques mais attachants. Ce n’est pas un coup de cœur, mais j’ai aimé découvrir cette série, qui est son meilleur de ce que j’ai déjà lu de la mangaka jusqu’à présent pour moi.

Un tome 2 avec de la jalousie et des non-dits entre les personnages. Shûji est de plus en plus perturbé par ses sentiments et Saji qui essaye de le comprendre.



J’ai aimé ces moments de doutes et l’évolution dans leur relation. Je les ai trouvés à la fois mignons et agaçants, à avoir envie de les secouer parfois.



Un tome vraiment sympa pour l’avancée des sentiments du couple en devenir. Un petit coup de cœur pour Saji dedans qui est tellement attachant. C’est la force tranquille avec de la sensibilité, qui montre toujours le meilleur et une grande maturité.

On découvre Shûji, un homme blasé et indifférent par la vie, divorcé, qui s’occupe de la fille de son ex-femme et de sa boutique de bazar. Il fait la connaissance d’un homme qui lui achète plein de jouets d’enfant et découvre plus tard que c’est le médecin remplaçant de la ville. Cette rencontre et la proposition du Docteur qui va suivre fera tout faire basculer dans la vie morose de Shûji.



Je ne suis pas particulièrement fan du dessin de la mangaka et je ne m’attendais pas à grand-chose pour cette histoire, mais finalement, c’était un plaisant premier tome. On a une approche un peu originale avec un médecin ouvertement gay et Shûji qui lui est hétéro mais va accepter une relation sexuelle avec lui par curiosité, curiosité qui va évidemment évoluer par la suite. Shûji qui malgré son indifférence, va être perdu par des sentiments qui ne comprennent pas face au docteur, qui lui, est déterminé et sûr dans ses envies.



J’ai aimé la construction des personnages que tout oppose. Une relation atypique, avec de la maladresse et de la découverte. Ce n'est pas vulgaire et plutôt joliment bien traité par l’auteure et du coup ça m’a donné envie de savoir la suite.

Ce dernier tome comble mes attentes même si je suis un peu surprise par la fin que je voyais un peu différente.

On voit dans ce volume une autre facette de Saji dans ces interactions avec la fille de Tanihara, il est adorable avec elle. Chi est d’ailleurs beaucoup plus présente dans ce tome ce qui nous permet de la connaître un peu plus est j’ai adoré son personnage. Bref, une belle histoire.