À l'époque, elle n'était qu'une enfant mais déjà, les livres étaient pour elle autant de miroirs. Reflets du monde, reflets d'elle-même. À Prague, dans les années 30, la seule peur qui la taraudait, c'était de manquer de temps pour lire tout ce qui lui plaisait. Son nom ? Edita Adlerova. Mais tout le monde l'appelait Dita. Les livres, c'était sa vie.