Du fric, du fric partout, et pas une miette à dépenser. Je ne pouvais pas y toucher, même avec des pincettes et ça me rendait dingue. Chaque fois que j'allais au garage pour vérifier le butin, je me rendais compte de ce que doit ressentir un alcoolique chaque fois qu'il passe devant un bar. L'odeur de l'argent me rendait malade.