"La rose sentait très bon, Mademoiselle Duryan."
Sabran entremêla ses doigts aux siens. Pensant qu'elle souhaitait en dire davantage, Ead se pencha vers elle - mais Sabran Berethnet l'embrassa sur la joue.
Ses lèvres étaient aussi douces que du duvet de cygne. Ead se retrouva aussitôt couverte de chair de poule et réprima un soupir d'aise.
"Merci, reprit Sabran. C'était très attentionné."