« Grekova : Où avez-vous mal ?
Platonov : J’ai mal à Platonov »
(Ce fou de Platonov, Anton Tchekhov)
...tout un monde résumé en une seule phrase.
J’ai mal à Platonov.
De la douleur d’exister, de la détestation de soi-même, vivre avec soi : le pire des supplices. C’est simple, bref et profond à la fois, d’une extraordinaire limpidité.