Elle me fixait. Elle évaluait ma tronche, mes sourcils froncés, mon air fou et sauvage. J’avais le visage dur, le dos fatigué, le cœur triste. En temps normal, je cracherais des insultes à en fracasser les vagues. [...] Elle se tenait là, immobile, grande et belle. Et ses vêtements dansaient avec le sable.