La violence, j'en ai soupé et je n'en ai pas le goût. Mais que ce soit clair : s'il faut l'utiliser, je le fais. Je n'ai pas l'âme d'une victime. Certains ressortent écrasés par la prison, d'autres endurcis ; je suis de ceux-ci. Avec une conscience aiguë des choses pour lesquelles cela vaut la peine de cogner, et celles qui ne le justifient pas.