Quelle horrible impression, celle de nos propres limites : jamais, dans la vie ordinaire, nous n'avons besoin d'aller aux frontières de ce dont nous sommes capables, à l'extrême de nos forces. Le sentiment d'arriver au bout nous est étranger. Nous nous croyons invincibles, quand nous n'avons simplement pas à utiliser nos réserves. Nous sommes des protégés, des assistés qui s'ignorent. Des faibles. (..) Devant l'immensité des éléments, dans des situations extrêmes, nous ne sommes plus rien.