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Citations de Sandrine Dixson-Declève (31)


L'irruption du covid-19, cette énième zoonose - ou maladie infectieuse de source animale - après le VIH, Ebola, Zika ou les différentes grippes aviaires, a sonné comme un ultime rappel : l'emprise des activités humaines sur la nature met notre civilisation en péril.
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Le choc planétaire provoqué par la pandémie Covid-19 a fait surgir l'espoir de reconstruction d'un monde meilleur et ouvert une fenêtre d'opportunité unique pour mettre la transition écologique sur les rails. Elle a également montré que des nations comme la Nouvelle-Zélande, l'Islande et l'Ecosse, qui n'érigent pas la croissance du produit intérieur brut (PIB) en valeur cardinale mais valorisent le bien-être sur base d'autres indicateurs, sont sortis plus fortes de la crise.
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Pour Anuna, tout est question d'éducation et d'information. Il faut savoir pour agir. Or, en Belgique, nous sommes mal informés. Face aux risques qui pèsent sur l'humanité, les médias doivent s'engager dans la bataille. Dans une démocratie, il y va de leur responsabilité de transmettre des informations pertinentes au public
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Notre modèle économique fondé sur la croissance infinie a un coût dévastateur pour la nature et nous conduit dans une impasse. Le combat n'est pas l'apanage des scientifiques et des militants écologistes. Il nous concerne tous, abonde Sandrine. Il faut comprendre qu'on ne se bat pas pour sauver la planète - elle survivra -, mais pour préserver les conditions de vie de l'humanité sur terre.
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Comme le dit Sandrine, il nous faut passer de l'egosystème actuel, fondé sur l'appât du gain, l'individualisme et la haine de l'autre, à un écosystème dans lequel la sobriété, la coopération et la fraternité priment.
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Quand les semeurs de haine s'en prennent à votre apparence ou à vos différences, cela signifie qu'ils ne savent plus que faire et que nous avons gagné.
propos repris de Greta Thunberg.
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Il ne faut pas rejeter sur les autres ce que l'on peut faire soi-même. Mais il faut être conscient que nos contributions ne sont pas équivalentes. On n'est pas tous des colibris, il y a aussi des éléphants plus efficaces pour éteindre le feu. Ce serait injuste de ne laisser travailler que les colibris. Les jeunes qui se sont levés avec Greta Thunberg, c'est cela qu'ils disent : nous sommes des colibris, nous faisons notre part, mais nous demandons aux éléphants (les responsables politiques et acteurs économiques) de faire la leur, poursuit Adélaïde.
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Mais ce n'est qu'à 18 ans que j'ai pris conscience que le modèle de développement occidental, à savoir produire plus pour consommer plus, n'est pas le but de l'existence. L'essentiel pour moi, c'est d'ôter cette illusion de bien-être par la consommation, solidement ancrée dans les mentalités
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Mettre en concurrence le social et environnement serait la pire des erreurs.
L'action climatique doit pouvoir générer des bénéfices sociaux.
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Passer à une économie faible en carbone, circulaire et respectueuse des limites planétaires est le seul espoir de surmonter dignement les crises. Il ne s'agit pas d'un choix idéologique, ni d'un projet socialiste, mais d'une nécessité existentielle pour l'humanité. Intégrer des indicateurs de bien-être écologique et social ou appliquer la théorie du Donut permet toujours l'innovation au sein d'une économie de marché, mais sur des bases soutenables, affirme Sandrine
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Nous assistons à une convergence de crises provoquées par les activités humaines qui nécessitent d'agir tant qu'il est encore temps.
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De façon générale, les Etats qui ont le mieux géré la première phase de la crise sont ceux qui ont le mieux intégré les objectifs de développement durable, dont celui qui vise la parité des genres et la diversité dans la participation aux processus décisionnels. Cela les a rendus plus robustes, poursuit Sandrine. Les défis que posent les changements climatiques sur la santé, l'environnement, l'économie, etc. , nécessite ce type de leadership basé sur la résilience, l'équité, l'écoute, l'entraide et la coopération, à l'opposé des rapports de force et des guerres et des guerres d'égo.
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Plus largement, je pense que les femmes ont un instinct protecteur davantage tourné vers le collectif que vers l'individuel.
propos de Sandrine
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La lutte contre le réchauffement planétaire passe par une remise en question de la vitesse, de la compétition, de la logique d'accumulation, des valeurs plus fréquemment attribuées aux hommes, pour revenir à plus d'émotions, d'empathie, de respect des autres et de la nature, des qualités dites féminines.
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Ce n'est pas parce qu'on a toujours procédé d'une certaine façon qu'on ne peut pas la remettre en question.
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Les jeunes ont hérité de la conjonction de plusieurs crises. Celle du réchauffement climatique, mais aussi des inégalités grandissantes entre les plus riches et les plus pauvres, auxquelles s'ajoutent désormais les risques sanitaires.
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Nous avons les moyens de devenir plus résilients et de réduire notre impact sur le climat. Les changements doivent se faire sans attendre. C'est le moment de passer de l'"egosystème" à l'écosystème, de démontrer qu'en tant qu'êtres humains nous sommes capables de dépasser notre égoïsme pour sauvegarder notre maison commune.
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J'avais préparé une présentation sur les bonnes pratiques en matière de gestion environnementale. Finalement, j'ai tout changé en dernière minute et recentré mon propos sur le respect. Car si l'on ne se respecte pas soi-même et les autres, comment peut-on respecter l'environnement qui nous entoure ?
propos de Sandrine.
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Ainsi, comme l'explique également l'économiste camerounais et professeur à l'Université catholique de Louvain Thierry Amougou : " Le privilège de "penser climat" et de se mobiliser pour lui est inégalement réparti entre le Nord et le Sud. Il suppose d'être libéré de l'emprise des carences du quotidien " Comment la mobilisation pourrait-elle se propager dans les pays du Sud " si les jeunes y ont peur de dormir sans manger, de ne pas avoir d'eau potable, de ne pas aller à l'école, de ne pas pouvoir se soigner ou de devenir des enfants soldats" ?
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Dans le monde où nous vivons, il est bien considéré de vivre dans le luxe, de posséder plusieurs voitures et plusieurs maisons par famille, de voyager en avion pour le plaisir.. Mais sont-ce réellement des privilèges ? Ou plutôt des mensonges véhiculés par le marketing et la publicité ? s'interroge Adelaïde.
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