Une décharge fulgurante traversa son crâne et l'abima au sol. Elle ne perdit pas immédiatement connaissance. Samia tenta de se redresser mais ses mains glissèrent sur le carrelage baigné d'un liquide chaud et d'une odeur doucereuse et familière de souvenirs lugubres.
La même que celle du mouton égorgé.