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Citation de Fandol


Lorsque nous avons franchi la frontière avec la Pologne, ce ne fut guère plus qu’un vaste champ de ruines. Maisons bombardées, effondrées, fumées d’incendies, blessés et cadavres dans les champs ou sur les routes, convois qui se traînaient, encadrés par nos soldats. De temps en temps, même si nous les dépassions à toute vitesse, j’apercevais un visage, hâve, exsangue, déformé par la peur.
Les Polonais. Prisonniers. (page 136)
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