Lukas avait pleuré lui aussi, le jour où, à l’infirmerie de Kalish, je lui avais raconté mon histoire. La première partie, celle que j’avais vécue avant de le connaître. Ce jour-là, il m’avait dit : « Il faudra qu’on témoigne, tous les deux. Moi, pour ce qu’ils font aux Polonais et aux Juifs ; toi, pour ce qu’ils t’ont fait. »
J’ai tenu ma promesse.