« Frances sourit , puis ferma elle aussi les yeux, s’abandonnant à la lumière d’été , à la douceur de l’instant , à l’air si âprement évocateur de cette période particulière de la guerre.
Le son vacilla un peu . L’homme s’éloignait , jouant toujours sa mélodie .
Comme il se tournait pour descendre du trottoir , il apparut au dos de son trench- coat un panneau sur lequel il avait peint l’inscription suivante :
PRÊT À BOSSER! EMBAUCHEZ- MOI ! » ....