Se rasseyant plutôt sur sa chaise, elle étudie le visage de sa sœur. Elle a la bizarre impression d'agir en cachette.
Autrefois, regarder Viola était comme se voir dans un miroir à plusieurs angles. L'observer n'était pas l'espionner, c'était simplement comme si elle critiquait ou admirait ses propres traits.
(...) Isolte cligne des yeux et détourne le regard. Elle ne peut pas s'habituer à voir sa sœur dans cet état. Se souvenir d'elle avec ses joues rondes d'enfant et son large sourire lui demande de plus en plus d'efforts.