Le paradoxe subjectif serait le suivant : je me plains de la relation d'asservissement dans laquelle je me trouve parce que je l'ai choisie, mais je ne veux pas y mettre fin, soit que la liberté me fasse peur, soit que je continue à renouveler le même choix de sécurité tout en ne voulant pas en assumer les conséquences sur mon existence.