De fil en aiguille, il me fait remarquer qu'en Occident, nous sommes sans cesse en train de FAIRE quelque chose et que nous oublions d'ETRE.
Tournés vers l'extérieur, nous devenons le jouet des circonstances, éternellement insatisfaits, toujours plaintifs.
Nous nous oublions, nous respirons mal.
Nous négligeons de nous tourner vers nous, de créer un espace en nous, pour être avec nous-même, sans stimulations, sans règles, sans obligations.
Un espace libre de tout, simplement pour nous sentir exister et goûter ce sentiment fondamental.