La société qui défend les droits de la femme existe depuis plus de dix ans, reprit Fumio. Les femmes, maintenant, ont conscience de leur position inférieure mais ma mère, elle, reste intolérablement vieux jeu. C’est pourquoi j’ai tellement hâte de partir pour Tokyo. Je n’ai pas une envie terrible de militer dans la féminisme mais jamais je n’aurai, comme me mère, le culte des traditions. (Page 151)