Guérir, c'est aimer. C'est une fonction de l'amour. Là où il y a de l'amour, il y a de la guérison. Là où il n'y a pas d'amour, il y a peu ou pas de guérison. Paradoxalement, une psychologie du mal doit être une psychologie de l'amour, une psychologie débordante d'amour de la vie.