La nature engourdie peine à se réveiller. Les premiers rayons de soleil se fraient un chemin.
La cime dégarnie d’une forêt émerge, un oiseau noir s’extrait de la grisaille.
Un grand corbeau à la sinistre robe tournoie, s’élève en suivant les volutes invisibles. Il scrute la forêt. Son regard se fixe, pointe au milieu de l’étendue un endroit encaissé, plus sombre.