Rapidement, le Poulpe se retrouve très en phase avec les huit hommes et leur fameuse vision du monde, un genre de concept confraternel où il est question de s’aimer les uns les autres et de s’apporter, via les différences de chacun, un équilibre autogéré dans lequel chacun peut puiser, une espèce de source intarissable en quelque sorte.