Les sciences sauront-elles combler tous nos désirs, toutes nos
aspirations particulières et universelles sans pour autant continuer de
menacer l’ensemble de la biosphère comme c’est toujours le cas
aujourd’hui ? À quoi nous servirait une liberté individuelle exacerbée
si l’individu devient rétroactivement, et par effet boomerang asservi à
ce même besoin de liberté ?