Je ne parlerai plus d'elle. Bien des histoires qui courent sur cette femme m'ont jadis réjoui le cœur, car, dans sa jeunesse, elle était joyeuse, prodigue et pas méchante. Mais elle ne comprit pas que l'âme ne saurait vivre de frivolités et de plaisirs. L'âme est toujours affamée, et, lorsque ces vains aliments viennent à lui manquer, elle déchire alors les autres âmes et finit par se déchirer elle-même.