Je ne veux pas jouer,
Mais je suis provoqué,
Mon honneur de guerrier
M’impose d’accepter.
L'univers n'est pas libre, hélas !
Si le créateur l'a construit,
C’est le destin qui le conduit.
Le destin l’emporte sur la raison.
Comme une flamme vive aveugle le regard
Le destin nous prive de jugement.
L’homme semble maitre de ses actions :
Mais la corde du destin tout-puissant
Le tire de-ci de-là !