Il faut cependant bien souligner que l’idée de réductionnisme est insolite quand on parle du cerveau : le cerveau humain est l’un des objets les plus complexes de l’Univers, par le nombre de ses neurones et surtout le nombre des connexions entre les neurones. Aussi, même si nous étions amenés à conclure que le désir sexuel est expliqué par le fonctionnement du cerveau, pour qui connaît, même un peu, le cerveau, s’agirait-il plus d’une complexification que d’une simplification.