Au début de notre mariage, il suffisait que nos mains se touchent pour que nos corps s’enflamment. Nous étions esclaves de l’affolement de nos sens. Il m’arrive maintenant de penser que cette passion, une fois éteinte, n’a rien laissé derrière elle. Ni tendresse. Ni complicité. Mon problème n’arrange pas les choses.