Cela étant, Schlippenbach empruntait sans cesse de l'argent à ses collègues et ne le rendait pas volontiers. La liste de ses créanciers occupait bien deux feuillets dans son agenda de travail. Lorsqu'on lui rappelait sa dette, il s'exclamait, l'air menaçant :
- Si tu me casses encore les pieds, je te raye de ma liste!...