"(...) L’espoir est tout ce qui leur reste, alors donnez-en, c’est gratuit et empêche les rébellions. Persuadez-les que leurs hommes reviendront un jour, n’hésitez pas à être larmoyant voire ridicule, à faire vibrer la corde sensible, le peuple raffole des bons sentiments (...)"
Séverin FOUCOURT, "Patience, le temps n’est guère assassin", page 13.