« Je ne sais plus ce que je désire… à part tes lèvres, à part ta peau, à part Toi. Je sais que nous nous reverrons. Dans un mois, dans un an, dans dix ans, nous nous retrouverons. Tu m’as écrit qu’aimer, c’était être égoïste. Je le suis. Je voudrais que tu m’attendes, je voudrais que tu croies en moi, que tu gardes espoir. Mais dans un monde aussi sinistre, c’est peut-être trop demander. Pourtant, je me raccroche à l’idée que mon amour pour toi n’est pas limité par le temps et l’espace. Il n’est même pas limité par mon existence. Je suis et je t’aime tant que tu seras et que tu m’aimeras. »