Je préfère les hommes dont l'esprit est plus expansif que le pénis.
Je me demande parfois si je n'aurais pas moi-même eu une attaque cérébrale parce que je me suis trop éloignée de ma voie naturelle : de mon véritable chemin de vie. Je me demande si le corps crie quand on n'obéit pas à qui on est vraiment.
Après les compliments surviennent souvent les injures. Il suffit d'ignorer un homme et il vous traite de garce, de p...
Ciné-Revue, 16 janvier 1993
Les hommes vous aiment rarement pour ce que vous êtes vraiment. Il faut être très forte pour garder son identité et ne pas se prêter à leurs exigences.
Paris-Match, 28 avril 1994
Et donc, ouais, nous avons fait ce film, un film qui a été présenté à Cannes, où je suis arrivée avec, en tout et pour tout, la tenue dans laquelle j'avais voyagé et où ce cher Sheep m'a sauvé et m'a emmenée dans des fêtes chaque fois vétue d'une robe de soirée magnifique et différente. Ca semble incroyable. C'était ma première expérience avec les excès des gens riches de la Riviera; à l'époque qu'est que j'en savais? Je ne connaissais rien
Pour celles et ceux d'entre nous qui ont eu en elles, en eux, cette part brisée qui nous laisse incapables de nous lier avec qui que ce soit comme les autres semblent pouvoir le faire, la solitude est réconfortante et paraît procurer un certain bien-êre. Ce temps qui n'est pas partagé paraît moins dangereux.
Dès qu'on couche avec un homme, les ennuis commencent.
Paris-Match, 8 avril 1993
"Toucher mon nez les yeux fermés, me tenir sur une jambe, sauter sur une jambe, réagir quand on tapait sur mon genou avec un petit marteau, tout ça pour m'entendre dire :" tout va bien"."
Je ne choisis pas des amants mais des femmes avec un pénis !
Paris-Match, 28 avril 1994