« Je veux juste me sentir capable de faire des choses que même les gens normaux n’arriveraient pas à faire, à l’aide de tous les paris débiles que je me donne et dont je vous ai déjà parlé. Je veux dormir le soir en me disant que, malgré cette maladie qui me détruit, j’ai réussi autant qu’eux. »
[...] à travers mes aveux, je lui ai offert quelque chose de bien plus cher à mes yeux ce soir-là : la possibilité de me détruire à tout moment, de me contrôler.