Alors il contempla ce monde noir, inquiétant, violent, il écouta son bruit permanent, le vent, les vagues, la houle. Et cette fois il admira le pingouin, et parce qu'il admirait le pingouin il pensa que si l'animal devait un jour disparaître, quelque chose de triste se passerait, à l'instar de la perte d'un savoir, de la disparition d'une façon de se mouvoir dans un élément hostile, quelque chose de différent des oiseaux marins qui volaient, des phoques qui nageaient, des poissons qu'il ne voyait pas sous l'eau.