Notre langage courant fait, dans la description des phénomènes pathologiques, une distinction entre symptômes et inhibitions, mais sans y attacher beaucoup d’importance. S’il ne se présentait pas de cas où nous sommes contraints d’avouer qu’il s’y rencontre des inhibitions et pas de symptômes, et si la question ne se posait pas de savoir pourquoi, nous ne nous soucierions pas de délimiter la notion d’inhibition d’avec celle de symptôme.