Le rapport à l’objet n’est pas chez [le mélancolique] un rapport simple, il est compliqué par le conflit d’ambivalence. […] Il se trame donc dans la mélancolie une multitude de combats un à un pour l’objet, dans lesquels haine et amour luttent l’une avec l’autre, l’une pour détacher la libido de l’objet, l’autre pour affirmer cette position de la libido contre l’assaut.