Moralité : difficile de ressusciter la biodiversité ailleurs que chez soi… En dehors, le propriétaire finira toujours par se réveiller pour venir bouter la nature loin de chez lui…
La vie se complait dans le fouillis, c’est son truc, on n’y peut rien. Mais les gens ont besoin de pouvoir passer la serpillère, faut que ce soit net, hygiénique. Pas de pot, la vie, c’est sale, elle en met partout si on la laisse faire : alors on la tient à distance…
La nature a horreur du vide.
(Moi aussi) (p.86)