Il y avait des moments où l'on se tenait fièrement au sommet d'une montagne solitaire, on embrassait d'un coup d'œil une terre unie, sans relief, dont les lignes et les couleurs composaient un seul paysage. Et à d'autres moments, on était en bas et on s'apercevait que chaque morceau de sol existait pour son propre compte avec ses creux, ses bosses et ses belvédères.