Gide fait dire au vieux La Pérouse : « Pourquoi est-il si rarement question des vieillards dans les livres ? Cela vient, je crois, de ce que les vieux ne sont plus capables d’en écrire et que lorsqu’on est jeune on ne s’occupe pas d’eux. Un vieillard, ça n’intéresse plus personne. »