Je réalisai combien j’avais pris l’habitude de me reposer sur mes compagnons, sur la sereine confiance en soi de Challenger, sur la maîtrise et le sang-froid de Lord John Roxton. Sans eux, j’étais comme un enfant dans le noir, démuni et impuissant. Je ne savais pas quel chemin prendre, ou ce que je devais faire en premier.