Les beaux esprits occidentaux, ces doux rêveurs épris d’utopies, qui qualifiaient de « fautes passagères » le cynisme et l’inhumanité de cette « diplomatie », ne furent tirés de leur sommeil que le jour où le régime communiste s’en prit à leurs propres personnes. (Certains continuent encore à rêver.) (p. 78)