Loin de le percevoir comme une institution -parfaite ou imparfaite - Kristof considérait le mariage comme une forme éthique, une forme capable de doter d’un cadre divin la cohabitation de deux êtres de sexe différent et la famille qu’ils allaient fonder. Que pouvait-on désirer de plus ? Un mariage « plus parfait » ? Tout ce que l’humanité touche, on le sait, reste imparfait.