Il existait partout, ici.
Longtemps, je vivrais dans la certitude que son souvenir suffisait, et suffirait.
Un jour pourtant, je connaîtrais un autre homme, je chérirais une autre âme. Et de cette même fenêtre, je l’observerais marcher au bord du lac, les quelques larmes que je versais ce matin en songeant au passé remplacées par le sourire qui construirait l’avenir.