Lorsqu'elles se quittaient à la fin de l'été et que Nadja pleurait, nonna Giulia lui disait que c'était une bonne chose que le fait qu'elles allaient se manquer durant l'année scolaire, qu'un être qui nous manque, c'est un être qui compte et que c'est beaucoup mieux que de n'avoir été touchée par personne.