Sans électricité, avec des bougies et des lampes à pétrole pour seul éclairage, on vivait au rythme de la nature. En hiver, la nuit tombait à quatre heures et demie. L’été, les journées étaient un peu plus longues, mais les bois de conifères et de feuillus, proches, semblaient absorber la lumière et projeter leur ombre épaisse tout autour.