Souvent, elle avait envié les aigles, sentinelles gracieuses et planantes, observateurs puissants, en suspension au au-dessus des sommets enneigés, rois du ciel, libres et majestueux. Prédateurs, certes, mais fascinants. Tellement éloignés de ces prédateurs humains dont l’intelligence ne suffisait plus à maîtriser les pulsions.
(Denoël, p.337)