Sophie Campbell

La mode est aux zombies déclinés dans tous les genres . Celui de la BD n'y fait pas exception . De l'excellentissime Walking Dead au très trash Crossed en passant par Zombistouquette pour un public averti et Martine et le Méchant Monsieur Qui Fait Rien Que de la Mordre Sans Avoir Demandé Poliment Avant pour nos chères têtes blondes, l'offre abonde . En voici une de plus pour le plus grand plaisir des amateurs de bulles et de revenants boulimiques : Les Abandonnés .



L'Ouragan Riley approche dangereusement de la Floride . La jeune Rylie, avec un i, s'en fout royalement car elle adore tout ce qui sort de l'ordinaire . Un look trash, la crête punk au vent, elle est une véritable boule d'énergie . Ses potes , ce sont Nicole et sa petite sœur Cammie qui tiennent la boutique de glace . Ben, qui vient de larguer John par texto pour la énième fois, fait également partie de ses intimes . Puis il y a Naomi . Ah Naomi, fraîchement débarquée dans le coin et déjà sur la p'tite liste coquine au Père Noël de Rylie...

Son taf, se faire coller des mains au panier dans la maison de retraite du coin . La nuit est cataclysmique, le réveil douloureux . Il semblerait que tout ce qui porte dentier et couche-culotte se soit subitement transformé en Zombie cannibale . Le phénomène se généralise dans tout le pays . Rylie et sa bande prennent alors la tangente avec pour seul objectif de survivre le plus longtemps possible...



Les Abandonnés et le Zombie de Romero , même combat . En effet, lorsque l'on devient subitement le plat favori du reste de l'humanité – flatteur au départ mais très vite contraignant - la seule planche de salut qui s'offre à vous prend rapidement l'aspect d'un environnement cloisonné . Qui dans une cabine téléphonique pour le coup de fil à un ami Jean-Pierre, qui dans une barrique d'Henri Jayer Richebourg Grand Cru pour les plus contorsionnistes ayant opté pour le coma éthylique plutôt que l'éviscération, qui dans un centre commercial, une maison, bref, toute bâtisse s'en rapprochant .



Le point fort de ce one-shot n'est pas le récit en lui-même tant le scénario est convenu . Non, par contre, le coup de crayon tout en rondeur, l'encrage saturé à prédominance rouge et la personnalité atypique des casse-croûtes en puissance y participent activement . Si le début est poussif, l'histoire prend une réelle épaisseur au fil des événements pour finalement s'avérer d'une puissance folle .

Belle histoire d'amour naissante traitée toute en finesse . Des twists au timing parfait pour contrebalancer admirablement horreur pure et moments plus intimistes .

Une version prenante intelligemment construite qui laisse à penser que l'épidémie Zombie n'est pas prête d'être endiguée et c'est tant mieux !

Vous savez l’amour que je porte aux TMNT et à chaque nouvelle aventure, j’adore me replonger dans les intrépides prouesses de nos chers amis.

Avec ce tome 2 du run de @mooncalfe23 on en prend une nouvelle fois plein les mirettes. Ça bouge, ça se bagarre, ça survie dans des conditions difficiles, en un mot ça vie.

Derrière une histoire classique des TMNT, il faut lire entre ligne et voir la critique justifiée de notre époque et de la stigmatisation de certaines populations, mais également une critique générale du racisme qui gangrène nos civilisations. La peur de l’étranger, de l’inconnu est un mal bien commun aux humains. C’est donc ce subtil mélange qui vous attend ici et c’est orchestré avec brio.

Côté univers graphique, je suis toujours aussi fan quoiqu’un peu nostalgique de @santolouco_art , mais ici c’est beau, propre, précis et offre de très belles pages d’action et de baston. Que demandez de plus. La relève est donc merveilleusement assurée pr la nouvelle équipe et je n’ai qu’une hâte, lire le prochain tome.



Note T.2 : 5/5.

Il me tardait de lire la suite des TMNT et ce Reborn tient toutes ces promesses. Sophie Campbell, qui prend la suite de @kevineastmantmnt et Tom Waltz, propose ici une histoire solide, puissante, géniale et totalement dans la lignée des tomes précédemment sortis. On prend un réel plaisir à retrouver nos tortues chéries et à découvrir leur nouveau monde après les catastrophes survenues dans le tome 19. Ce Reborn n’est pas un reboot total c’est juste la suite directe du tome 19, mais vu qu’il y a changement d’équipe, c’est indiqué tome 1 pour bien marqué le renouveau. Côté univers graphique, Sophie Campbell a un talent de dingue et propose des planches plus belles les unes que les autres. Elle maîtrise à la perfection son monde et nous offre une immersion folle et intense dans ce mutant world. Les scènes d’action sont riches et puissantes et on en prend plein les mirettes.

Est-ce une bonne suite ? Punaise mais ô que oui !! Est-ce que je suis aussi fan qu’avant ? Mais oui et à un point tel !!

Devez-vous vous jetez dessus ? Mais oui et encore oui et toujours oui ! Par contre faut avoir lu les tomes précédents pour bien tout piger. Investissez donc dans les intégrales TMNT qui sont sorties et qui sortiront !! 😉



Note T.1 : 5/5.

Après l'excellent run de Waltz, Sophie Campbell signe un très bon retour pour la série. Suite aux événements du dernier tome, on a une refonte complète du statu quo et je dois dire que j'ai été agréablement surpris. Je commençais à trouver que la série s'essoufflait dans certains arcs et traînait un peu en longueur avant les derniers chapitres du run de Waltz. J'ai trouvé les éléments de ce nouveau tome très frais et pleins de bonnes idées. On retrouve un côté un peu plus posé, coloré et plusieurs éléments très intriguant qui donnent envie de lire la suite !

Après la très bonne série de Tom Waltz qui a pris fin avec son tome 19 (mais qui en comptait en réalité plus que ça, 19 tomes + un tome 0 bien épais + l'histoire secrète du clan foot + les volumes consacrés aux micro séries vilains et héros... avec un tel fiasco éditorial, dur dur de s'y retrouver...).

Bref, le travail éditorial de Hi Comics mis à part, la série de Tom Waltz était très bonne, et j'avais hâte de voir ce que donnerait le "relaunch" de Sophie Campbell.



Tout d'abord, si la série débute avec un nouveau tome 1, il peut-être assez compliqué de s'y lancer si vous n'avez pas lu la série précédente.

En effet, ce pseudo relaunch est en fait un simple changement d'équipe créative, aux US, la série de Tom Waltz compte 100 numéros et Sophie Campbell arrive au numéro 101. La numérotation n'ayant pas reprise à zéro nous démontre bien qu'il ne s'agit pas d'une nouvelle série mais d'une suite.



Si toutefois vous souhaitez vous lancer dans l'aventure avec ce "tome 1", un minimum d'édito vous fera savoir où on en est, à savoir, Splinter est mort, et un agent mutagène a été déversé sur New York transformant une partie de la population en mutant Une fois cela en tête vous pourrez commencer la "nouvelle" série, mais celle de Tom Waltz étant de qualité, il serait bête de passer à côté.

Et je dois dire que j'ai beaucoup aimé ce premier tome du run de Sophie Campbell qui officie au scénario et au dessin et qui est très juste dans les deux domaines. Les tortues ne portant pas forcément leurs masques, l'autrice arrive à bien caractériser chacune d'entre elles pour qu'on ne soit pas perdu. Et l'histoire de Waltz ayant terminé sur un statut quo bouleversé, la direction prise pour cette relance est à la hauteur de ce qu'on aurait pu espérer.



Je ne peux terminer ma critique sans redire un petit mot sur le travail éditorial de Hi Comics. le travail éditorial étant tout simplement inexistant sur les tomes de la série précédente, Hi Comics a décidé de faire un effort avec ce relaunch.

Notamment avec un trombinoscope présentant les différents personnages. Ce dernier était demandé depuis bien longtemps, c'est désormais chose faite, il est la ! Quoi vous ne l'avez pas vu ? C'est normal... Décision éditoriale étrange, il a été placé à la fin du bouquin après la galerie de couverture... Encore un choix très critiquable de la part de Hi Comics.



Vous l'aurez compris, les tortues c'est une série que j'aime et je ne peux que vous conseiller de la suivre pour sa qualité en tant que série et pas pour la qualité du travail éditorial.

Allez Hi Comics, y a du mieux, pour le prochain relaunch dans cinq ans vous serez au point !

📚Les évènements cataclysmiques de New-York ont laissé de profondes traces. La ville a été frappée en son sein et les tortues ninja en paient le plus lourd tribu. Après le sacrifice de Splinter, les membres de la famille se séparent et gèrent, chacun à leur manière, la perte de leur père. En parallèle, de nouveaux mutants apparaissent, parqués dans un de quartiers de New York. Faisant face à l'autoritarisme des sbires d'Old Hob, Jenny est une des rares à leur apporter un peu de soutien. 



🖊Tortues Ninja Reborn de Sophie Campbell a la lourde tâche de succéder aux excellents Kevin Eastman et Tom Waltz. Et, à la lecture de ce premier tome, on peut dire que le contrat est largement rempli. Fondamentalement axée sur ses personnages, l'autrice propose un récit sensible et attachant tout en préparant le terrain aux futurs défis qui attendent les tortues. À l'image de Daredevil, inspiration majeure de son créateur, elles chutent pour mieux renaître. 



🧔 Chronique complète :  
Lien : https://www.mtebc.fr/les-tor..

Deux groupes de rock qui s'affrontent sur scène ou dans la vie, voilà qui promet de belles aventures musicales ! Jem et Les Hologrammes, série animée diffusée dans le milieu des années 80, a marqué toute une génération. Révolutionnaire, elle s'éloigne radicalement des autres dessins-animés dits "pour filles", où généralement, les héroïnes jouent les victimes.



L'histoire met en scène deux groupes de musiques rivaux. Les personnages "ultra lookés" misent tout sur leur travail et leur talent et vivent d'incroyables aventures sans jamais parler chiffons ni produits de beauté. 30 ans plus tard ces héroïnes investissent le comics avec brio !



Bien sûr des éléments ont été adaptés à notre époque, notamment les tenues qui ont été actualisées - Hé oui, le look des années 80 ça pique les yeux. Mais les changements vont bien au-delà : les physiques stéréotypés - fini ! Les protagonistes assument leurs rondeurs, leur couleur de peau ou leur orientation sexuelle.



La trame de l'histoire reste la même : Jerrica, chanteuse paralysée par le trac, parvient à surmonter son manque de confiance en elle grâce à son double virtuel, Jem. En effet, peu de temps avant de mourir, son père imagine un ordinateur holographique baptisé Synergy et une paire de boucles d'oreilles permettant la projection d'hologrammes. Grâce à cet héritage peu commun, le groupe peut enfin participer au concours organisé par les Misfits. Mais Pizzazz, leur chanteuse, ne compte pas laisser ces novices lui voler la vedette.



Voici donc une adaptation qui tient toutes ses promesses : les nouvelles technologies ont la part belle dans le processus de création et de promotion des deux groupes. Fans de la série originale, rassurez-vous ! Tous les éléments d'époque sont là, la modernité et la diversité en plus. Enfin l'histoire s'agrémente d'un amour contrarié, ce qui ajoute encore de la profondeur à l'intrigue.

Ce tome a été une excellente surprise.

Tout est dit dans les paroles de l'introduction et à la fin.

Le papier est super agréable.

Le jeu de couleurs est très bien, les misfits ont un côté plus sombre dans les couleurs, et elles ont un côté plus agaçantes, surtout quand elles tentent de mettre des bâtons dans les roues.

On commence avec Jerrica, qui n'aime pas être en public (comme je la comprends ^^''''), elle doute, elle part alors qu'elles doivent se produire. J'aime ses filles, leurs complicités, leurs doutes qui sont bien abordés. C'est très actuel aussi : on a de tout corps, de toute orientation/préférence ...

Les filles ont une tendre complicité, rentrées dans le monde du showbiz ne va pas être évident, et risque de tout bouleverser. Pou l'instant, ce sont juste des soeurs passionnées; qui font de la musique ensemble et très unies. Elles se disputent, mais on sent une forte unité. Elles peuvent vraiment compter les unes sur les autres, elles ont des caractères très différents, et compétences, et peuvent ainsi se compléter, s'aider, avancer ensemble.

Avec Synergie, pour Jerrica, cela va être l'occasion de déployer ses ailes sous Jem, un hologramme qu'elle se crée. Ainsi libre, différente, non reconnaissable, elle peut enfin s'ouvrir, tenter avec ses soeurs.

Evidemment, les gens vont avoir une image faussée de Jem, comme une diva, qui ne participe pas. Et Jerrica ça l'énerve si on dit du mal de Jem, vu que c'est elle XD, son alter ego.

Ce n'est pas ce tome que j'ai lu mais les fascicules en VO, les comics.

Un beau retour dans le passé avec cette histoire, ces personnages. J'aime toujours autant l'histoire de Jem et cette fois-ci l'on retrouve l'histoire de base mais remise au goût du jour. Les héroïnes ont des téléphones portables, elles vont sur Twitter et elles ont une vie identique aux jeunes de notre époque.

Le dessin est frais et riche. Et au fur et à mesure que l'on avance, les dessinateurs changent. Même si certains n'ont pas fait l'unanimité dans mon coeur, je dois reconnaître que d'autres font de belles choses.

Un grand plus pour ce comics qui me replonge en enfance.

J'étais vraiment ébahi par le talent de Sophie Campbell lors de l'arc de Northhompton sur la première saison des Tortues Ninja. Je suis donc ravi de la revoir aux commandes de la seconde. À l'occasion du récent film sorti au cinéma, ce nouveau numéro un pourra cette fois vraiment contenter petits et grands.



Déjà, graphiquement, c'est un véritable coup de jeune. Ce n'est pas que je n'aime pas les couvertures signées Kevin Eastman, mais, il faut l'avouer, cela fait du bien à nos amis. Ils sont plus lisses et mignons, les mutanimaux aussi, enfin, quand ils sont du bon côté de la barrière.

Car, si ce tome fait office de grosse conclusion du second arc pour les plus fidèles, elle permet également de raccrocher tranquillement les wagons. L'action est moindre, et, on prend plus le temps de nous raconter ce qui se passe actuellement en lien avec les récents évènements. C'est une vraie bouffée d'oxygène après le condensé d'action lors de « New York, ville en guerre ».

Évidemment, on ne change pas une recette qui fonctionne depuis des décennies, c'est avant tout l'esprit familial qui est mis en avant, et, si elle s'est agrandie récemment, elle va continuer sur un bon rythme.

Pour ceux qui seraient encore perdus, vous pouvez vous contenter de la simple phrase d'accroche du départ, très efficace, ou alors, pour les plus pointilleux, il y a une galerie de personnages récurrents aux côtés d'illustrations bonus en fin de tome.



Si la saga n'était pas au bout de souffle dans la dernière partie de la première saison, elle n'en était pas moins répétitive notamment sur certains personnages secondaires. Quelques petites touches personnelles de Sophie Campbell permettent vraiment de passer un nouveau cap. On appréciera forcément des personnages féminins forts et cette histoire de mur qui rappellera le pire de la politique américaine, ou alors simplement, les meilleures dystopies.
Lien : https://www.sanctuary.fr/avi..

Les tortues ninja est une licence que j'apprécie particulièrement. Et si j'ai pris plaisir à lire tous les comics édités par Hi Comics, j'avoue que celui-ci me rebutait un peu pour plusieurs raisons.



Tout d'abord son prix, 30€ pour 200 pages... si je comprends que le public visé est très mince et que le tirage l'est donc tout autant, cela fait tout de même mal de débourser autant.



Ensuite, le fait de regrouper en un seul ouvrage des récits style "annuals" qui s'insèrent ici et là dans la continuité et qu'il aurait été beaucoup plus logique de retrouver au fil des chapitres de l'histoire principale.



Enfin, ma seul expérience avec une de ces micro série était sur Mickaelangelo et j'avais trouvé l'histoire très moyenne et sans intérêt.



C'est donc avec beaucoup d'apriori mais par soucis de completisme que je me lance dans cette lecture.



Et c'est avec surprise que... j'ai kiffé !

Les différents auteurs arrivent à nous rendre attachants des antagonistes qui pour certains m'étaient totalement égal.

Des méchants assez secondaires ont de très bonnes histoires, et mon seul bémol sera sur Schredder, qui est pourtant l'ennemi le plus emblématique des tortues et dont j'ai trouvé que l'histoire était la moins bonne.



Ma Note : 4.5/5

Certaines fois, on découvre un film grâce à un livre. D'autres fois, on découvre un livre grâce à un film. Ça a été le cas pour moi avec Jem et les hologrammes, une série animé des années 80 réadaptée en film en 2015, que j’ai découverte en 2016 alors que Glénat sortait une nouvelle bande dessinée, également inspirée de la version des années 80 et modernisée.



Que se passe-t-il quand une jeune fille présentant un talent pour la musique exceptionnel, mais souffrant d'une timidité maladive, découvre un étrange robot capable de la transformer en star de la pop ? Elle monte un groupe avec ses sœurs, et se retrouve rapidement au cœur d’un conflit musical l'opposant à un autre groupe, le tout sur fond d’histoire d’amour et de concours de talents.



Ce que j’ai aimé en tout premier, et ce qui m’a séduite avant toute chose dans cette bande dessinée, c’est évidemment le style du dessin. Les personnages présentent, à mon sens, un style très américain, avec des contours au feutre noir très marqués, et les vignettes bourrées de détails se suffisent parfois à elle-même.



Ensuite, j’ai évidemment été captivée par l’univers de Jerrica, dite Jem, et de son groupe, un univers de musique pop, plein de couleurs avec une dominance de rose qui m’a tout de suite emballée. J’ai aimé la manière dont l’illustratrice se sert des couleurs pour différencier les groupes et leurs univers musicaux respectifs.







Avant de vous dévoiler le scénario lui-même, un dernier détail qui m’a tout de suite attiré dans cette bande dessinée: les traits des personnages, qui ne sont pas sans rappeler ceux des personnages de mes dessins animés favoris lorsque j’étais enfant. Cependant, si la majorité des personnages sont féminins, les créateurs de la bande dessinée évitent l’écueil des héroïnes filiforme en proposant des personnages de toutes morphologies, de toutes couleurs de peau, toutes plus ravissante les unes que les autres. On est loin de héroïne traditionnelle, ravissante et maigrichonne, ou de sa camarade à forte poitrine !



Evoquons un peu de l’histoire à présent. J’ai apprécié l’idée de faire passer certains messages par le biais de cette fantaisie colorée, comme l’acceptation de soi quelle que soit sa morphologie ou sa personnalité, mais aussi des pistes de réflexion concernant l’homosexualité et l’importance de la famille, entre autres.



Mais le message qui se dégage de cette bande dessiné avant tout, c’est l’idée que derrière un monde de strass et de paillettes, l’industrie du disque est un véritable panier de crabes où des jeunes femmes pleines de talent sont montées les unes contre les autres pour faire vendre davantage de disques ou augmenter les audiences d’une émission de télévision. Un univers au sein duquel la compétition et les coups bas règnent en maître, et où le plus grand risque est surtout d’oublier en chemin qui on est, et ce qui compte vraiment.



Une bande dessinée pop et colorée, au look résolument rétro, qui m’a mset de bonne humeur et m’a donné envie de chantonner toute la journée. Et une fin à succès qui m’a fait trépigner d’impatience, jusqu'à ce que je découvre qu’un second volume des aventures de Jem et les hologrammes était disponible. Affaire à suivre donc !
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Ce premier volume pose les bases d'une série très rafraîchissante qui se dévore comme un agréable bonbon acidulé ! Ça vaut franchement le coup de se pencher sur les aventures de Jerrica et ses hologrammes !
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