Ensuite, direction mon avenue préférée, la Calzada del Cerro pour rendre visite à un ami écrivain ; rien ne peut achever la splendeur architecturale de cette rue sans touriste, ni la banqueroute révolutionnaire, ni la putréfaction politique, ni les lois saugrenues d’un système à bout de tout : la plus vaillante et la plus cubaine des avenues de La Grande, cent pour cent azucar puro.