Les distractions au sein de l’établissement pénitentiaire étaient plutôt limitées. En dehors de la salle de sport, ils n’avaient accès qu’à une grande armoire remplie de jeux de société et de cartes à jouer. Pas de télévision, pas d’internet, pas de téléphone. Aucun moyen de communiquer avec le monde extérieur. Aucune possibilité de prendre connaissance des actualités. Ils étaient temporairement exclus de la société et de toutes ses indispensables technologies.