L’amour en général et ma passion pour Elena en particulier me rendaient stupide, faible, et demandaient cette forme de virilité dont j’étais dépourvu et qu’en conséquence je tentais d’imiter.
Chaque matin, il me fallait endosser un rôle trop grand pour moi et retourner sur le champ de bataille de mes propres contradictions : ma raison m’ordonnait de la fuir alors que mon cœur me liait à chacun de ses pas.