On s’y mélangeait, s’y étreignait, au nom de la libération des corps et des esprits. Ce n’était pas un péché de chair, c’était de la politique, il n’y avait aucune raison de se cacher.
La révolution des désirs se jouait ainsi, à plusieurs, plus ou moins dupes selon ce qu’ils avaient bu ou fumé, plus ou moins acquis à l’idée que cette forme de résistance avait des chances d’être universellement entendue.