Lorsqu'elle commençait à douter, à baisser les bras, à perdre confiance, Elsa se mettait à pleurer, à côté à la fenêtre ou recroquevillée sur son matelas. Depuis que Marie lui avait dit que ça libérait de verser des larmes, elle ne s'en privait plus. Et l'expérience lui donnait toujours raison : après la crise, Elsa se sentait mieux, plus courageuse.